"Pour prolonger notre conversation, lisez ce livre de Frédéric Encel qui vient de paraître. L’auteur revient sur les critères de ce qu’est la puissance aujourd’hui, en dresse une sorte d’état des lieux. Il observe la façon dont elle est déclinée par les Etats-Unis, la Russie et la Chine, parle de l’Europe comme un « objet de puissance non identifié ». Si le discours sur la fin des Etats était évidemment erroné, il est é&dommage de ne pas tenir compte des nouveautés du monde : les acteurs non étatiques, les problèmes climatiques, la pandémie … Tout cela a montré que les Etats d’aujourd’hui n’ont plus le monopole de la puissance. "