"Plutôt que de discuter la disparition des emplois au profit des robots, il centre le problème de l’IA sur la vraie question : celle de la liberté politique. Comme principal antidote, il propose d’établir le droit de propriété des individus sur leurs données personnelles. Je pense que c’est une bonne solution, et pour répondre à Thomas Piketty, cela rappelle que la propriété privée n’est pas seulement une condition du développement économique, mais aussi de la liberté politique."