"J’aimerais rendre hommage à Marielle de Sarnez, ou plutôt braquer un projecteur sur les hommages qui lui ont été rendus à la nouvelle de sa mort. S’ils vont de l’extrême droite à l’extrême gauche, c’est sans doute parce que comme présidente de la Commission des Affaires Européennes, elle a eu à cœur de faire en sorte que le Parlement joue son rôle, et que la démocratie soit respectée. Tous ont reconnu et salué cette volonté, cette énergie, cette capacité de travail, qui sont allé dans le sens d’un respect actif, et même proactif de la démocratie parlementaire."