"120.000 Arméniens vivent dans la région du Haut Karabakh. Depuis la dernière guerre contre l’Azerbaïdjan, ils sont ravitaillés par le couloir de Latchine, seul moyen de leur faire parvenir les ressources élémentaires. La sécurisation de ce couloir dépendait de la Russie (elle était la condition à la cessation des combats), qui ne l’assure plus : le couloir est désormais fermé. Des rapports solidement étayés nous apprennent que les morts d’inanition ont commencé dans le Haut-Karabakh. SI l’Azerbaïdjan compte profiter de la situation internationale compliquée pour régler son « problème » du Haut-Karabakh par un autre génocide arménien, il faut que l'ONU, l'Union européenne et la France l'en empêchent en faisant connaître la situation de cette population et en obtenant la réouverture du couloir de Latchine."