"Un mot car nous avons appris la disparition cette semaine de Milos Forman ça me faisait repenser à, à mon avis ses meilleurs films, ceux de la période où il était encore en République Tchèque « Les amours d’une blonde ». Ca me fait penser à tous ces mouvements culturels des années 60 qu’il y a eu dans ces pays de l’Est à un moment donné où le couvercle s’est un peu ouvert, il y a eu tout un cinéma extraordinaire à ce moment là. Tous les cinéastes ne sont pas partis à l’Ouest à cette période. Il y avait par exemple un grand cinéaste dont je voudrais rappeler l’œuvre, qui s’appelle Jiří Menzel. Il faisait des très bons films mais il est resté lui du côté Est et qui n’a donc pas donné toute sa mesure"