"Pour rester en Afrique, je recommande ce livre qui vient de paraître. Il est signé de la journaliste Sophie Bouillon, qui travaille pour le bureau de l’AFP à Lagos au Nigéria (l’autre géant africain en termes de démographie). Elle relate la chronique de cette mégapole absolument sidérante, vue depuis une petite rue, Manuwa street, au moment du coronavirus, c’est à dire quand cet endroit grouillant de vie s’arrête soudain. Elle décrit la vie quotidienne dans ce qu’elle appelle « le bidonville le plus cher du monde ». Une ville folle, où s’écrivent aujourd’hui les nouvelles formes de la mondialisation et du développement."