"Les évènements du Maghreb et du Maschrek affectent d’abord les pays du Maghreb et du Maschrek en termes de déplacements de population et ne nous concernent qu’à la marge. Notre souci devrait donc être de trouver de nouveaux moyens de les aider, et d’abord la Tunisie, puisque c’est vers elle que reviennent ceux de ses ressortissants qui avaient immigré en Libye et ceux des Libyens qui fuient la guerre dans leur pays et le désordre qui suivra immanquablement l’issue de cette guerre, quelque forme qu’elle prenne.[...]"