"Je signale aussi que Matthias Fekl signe, aux éditions Passés Composés Le Dernier cortège de Fidel Castro, dans lequel il parcourt à l’envers le chemin qui a conduit les barbudos de Santiago à La Havane, de la révolution au parti unique. Il place en exergue de son livre cette phrase d’Ivan de la Nuez : « Depuis longtemps, à gauche comme à droite, Cuba est un endroit où l'on vient non pour découvrir la réalité mais pour confirmer un script ; les paradoxes sont remis à l'arrière-plan et les habitants condamnés à être de simples symboles des préjugés et jugements antérieurs des visiteurs. »"